Avant les jeux olympiques de Pékin en 2022 le hockey sur glace français a fait un grand pas en avant. En effet, la Fédération française a pris la décision d’octroyer les mêmes primes aux équipes nationales hommes et femmes. Il s’agit là d’une mesure dont le but principal est d’instaurer une parité parfaite entre les deux sexes et d’encourager la gente féminine à pratiquer cette discipline sportive.
La nomination d’une « directrice » technique nationale
La décision prise par la fédération nationale de hockey sur glace intervient à deux semaines seulement du début du tournoi de qualification olympique. Ce tournoi pourrait permettre à la sélection nationale de décrocher pour la toute première fois son ticket de participation aux jeux olympiques de Pékin 2022.
Pour beaucoup, cette décision n’est en aucun cas opportuniste. Bien en au contraire ! Celle-ci représente une suite logique d’une politique qui fut mise en place depuis plus de 10 ans. Une politique qui a pour ambition d’encourager les femmes à pratiquer du hockey sur glace, notamment en créant un pôle France féminin à Chambéry en 2008.
Cette parité hommes/femmes dans le hockey sur glace se voit également à travers la nomination d’une directrice technique nationale. Il s’agit là d’une première pour les sports collectifs en France.
Une décision saluée par tous
Pour beaucoup d’acteurs du hockey sur glace en France. La parité homme/femme au niveau de la rémunération ne peut être que saluée. C’est le cas notamment de Michael Juret qui a indiqué que cette mesure allait faire beaucoup de bien à ce sport de plus en plus populaire, notamment en élargissant la base de pratiquants. Cette belle dynamique ne peut qu’avoir de bonnes répercussions sur les résultats de l’équipe nationale dont on attend beaucoup encore.